In the village of Korcho on the Omo River, the women open a loft to get out some sorghum. The Karos have become a sedentary people, settled on the banks of the Omo, following the loss of all their animals due to an epidemic of bovine plague. They have reconstituted only a part of their livestock; they live from subsistence farming, taking advantage of rises in the river’s water level. ///Village de Korcho sur le fleuve Omo, les femmes Karas ouvrent un grenier pour y prélever du sorgho. Les Karos se sont sédentarisés sur les berges de l’Omo après la perte de toutes leurs bêtes suite à une épidémie de peste bovine et ils ont reconstitué en partie seulement leur cheptel. Ils vivent d’agriculture de subsistance en profitant des crues de la rivière.