Sebastian Spiewok, pendant l’inspection d’un ruche. Sebastian as la chance d’avoir ses ruches installées dans un jardin ouvrier comme il y en a beaucoup à Berlin. En effet, la compagnie de chemins de fer allemand avait l’habitude de garder des terrains autours des voies et de distribuer ces terrains à ses employés. Une solution habile pour pouvoir garder des terrains pour de nouvelles constructions. Très passé de mode pendant...
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Sebastian Spiewok, pendant l’inspection d’un ruche. Sebastian as la chance d’avoir ses ruches installées dans un jardin ouvrier comme il y en a beaucoup à Berlin. En effet, la compagnie de chemins de fer allemand avait l’habitude de garder des terrains autours des voies et de distribuer ces terrains à ses employés. Une solution habile pour pouvoir garder des terrains pour de nouvelles constructions. Très passé de mode pendant longtemps, les terrains des jardins ouvriers ont intéressé les promoteurs immobiliers pendant quelques années…mais aujourd’hui, la tendance s’inverse. Les jardins sont a nouveau très convoités par la génération des trentenaires./// Sebastian Spiewok during the inspection of a hive. Sebastian is fortunate to have his hives set up in a garden allotment, of which there are many in Berlin. As it was, the German railway company had the custom of keeping the land around the tracks for their employers. Also, a clever way of keeping land for eventual new construction: out of fashion for a long time, the land with the allotments interested real estate speculators during a few years, but today, the tendency has reversed itself. The gardens are once again much coveted by the thirty-somethings.
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